Archives For November 30, 1999
Pornons un exemple. Si que tcheuqu’un se fait dire qu’y parle mal pis qu’y se fait taper sus les doits pendant 13 ans d’école pis même le reste de sa vie à cause qu’y parle la langue de ses ancêtres, c’est ti si tant supornant que çâ qu’y se sente incompétent dans ste langue là pis qu’y fénisse par l’abandouner dans çartains cas? Les Acadjens pouvont aussi awoair de la misère à s’ercounaître dans les produits culturels (coume la musique, la télévision, la littérature, etc.) qui yeux sont óffris dans un français d’alieurs ou qui m’nont d’un autre culture (le français de France ou la culture québécoaise, par exemple). Comparons çâ à l’intérêt pis l’excitement qu’el monde a pour les produits qui m’nont de l’Acadie pis qui sont en acadjen ou en chiac, coume Lisa LeBlanc, Acadieman, Radio Radio, la Sagouine, les t-shirts « J’aime right ton accent! », etc. Ça fait qu’on peut woair que c’est pas qu’el monde aime pas le « français », c’est juste qu’y’a pas bócoup de produits qui sont ben adaptés au marché acadjen.Pour empirer les affaires, y’a l’anglais ben sûr qui rentre dans l’équoition. C’est la langue de la majorité lingüistique dans la région pis c’est la langue de la culture dominante sus le continent qu’offre ben plusse de póssibilités. À part de stes avantages là, en anglais, ça s’écrit la pupart du temps coume que ça se dit, pis ça reste de l’anglais parfaitement acceptable. En auteurs mots, y’a pas djére de diglossie en anglais, comparé à la paire acadjen/français standard.

He [Hirst] says his dramas are not documentaries but the details are rooted in history: “Just like Shakespeare’s history plays, they only start with some historical facts, then the drama takes over. You can’t have both.”
I disagree. History has plenty of drama and doesn’t require artificially injecting it with pointless love triangles and sex. Its the big reason why this past season of Vikings was incredibly boring despite plenty of history to draw upon. I’m cautiously following this development.
« Un accent communique des informations sociales sur une personne. Par exemple, l’accent dit beaucoup sur sa provenance géographique. Et des préjugés y sont rattachés. On aura tendance à attribuer à cette personne certaines caractéristiques. »
« Il y a différentes façons de prononcer les mots. Ça ne veut pas forcément dire que les gens sont moins capables de parler français. Ça veut juste dire que ça prend une autre forme. »
« Tout le monde a un accent. On dit parfois que l’accent ne vient pas de la bouche, ou du coeur, mais de l’oreille de celui qui écoute. »
The alt-right is anti-Christian. Not by implication or insinuation, but by confession. Its leading thinkers flaunt their rejection of Christianity and their desire to convert believers away from it. Greg Johnson, an influential theorist with a doctorate in philosophy from Catholic University of America, argues that “Christianity is one of the main causes of white decline” and a “necessary condition of white racial suicide.” Johnson edits a website that publishes footnoted essays on topics that range from H. P. Lovecraft to Martin Heidegger, where a common feature is its subject’s criticisms of Christian doctrine. “Like acid, Christianity burns through ties of kinship and blood,” writesGregory Hood, one of the website’s most talented essayists. It is “the essential religious step in paving the way for decadent modernity and its toxic creeds.”
The temptation to dismiss the alt-right should be resisted. Like Christians in late antiquity, we ought to see ourselves through the eyes of our pagan critics and their growing ranks of online popularizers. They distort many truths, through both malice and ignorance, and lead young men into espousing views and defending authors they scarcely understand. Yet we can learn from their distortions, and in doing so show how Christian theology, whose failings have contributed to the movement’s rise, might also be its remedy.
The alt-right’s understanding of human identity is reductive, and its rejection of Christian solidarity premature. “Christianity provides an identity that is above or before racial and ethnic identity,” Richard Spencer complains. “It’s not like other religions that come out of a folk spirit.” Spencer is right that the baptismal covenant transcends our local loyalties and identities. It does not, however, eradicate them.
https://www.firstthings.com/article/2018/03/the-anti-christian-alt-right#login
Ce texte est paru initialement dans le numéro décembre 2017/janvier 2018 de la revue À Bâbord. Nous le reproduisons avec la permission de la revue et de l’auteur.
La création acadienne semble revendiquer une place de plus en plus importante : réussite d’une survivance ou nécessité de vivre?
Je suis acadien. Mon nom de famille est Robichaud. L’un des originaux, m’a-t-on appris, dit, et redit. Je suis acadien du plus loin que je me souvienne. Un acadien né à Moncton, au Nouveau-Brunswick, en 1990. Ça m’a toujours été présenté comme quelque chose d’important, alors rapidement j’y ai cru, et plus je vieillis, plus je comprends que ça l’est. Je ne serais rien de qui ou de ce que je suis si je n’étais pas Acadien.
L’Acadie, c’est un paradoxe profond, une dose d’improbable et d’impossible, une irrévérence batailleuse, goguenarde, railleuse, ratoureuse qui s’affranchit plus souvent par en dessous que…
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A pair of French teachers followed for two years the actors of the resurgence of French in Louisiana: teachers, activists, politicians, students and parents of students. Their documentary, The Choice of Theo , will premiere in Lafayette, Louisiana on January 26.
Theodore Brode is one of the few French teachers from Louisiana. He is part of this generation of Louisians who discovered French in Canada. His ancestors were Francophones, of Acadian and Creole descent, but the 28-year-old grew up speaking English, a consequence of the law that banned French in Louisiana for nearly forty years.
Un duo d’enseignants français a suivi pendant deux ans les acteurs de la résurgence du français en Louisiane : professeurs, militants, politiciens, étudiants et parents d’élèves. Leur documentaire, Le Choix de Théo, sera diffusé en avant-première à Lafayette (Louisiane) le 26 janvier prochain.
Théodore Brode est l’un des rares professeur de français originaire de Louisiane. Il fait partie de cette génération de Louisianais qui a découvert le français au Canada. Ses ancêtres étaient francophones, d’origine acadienne et créole, mais le jeune homme de vingt-huit ans a grandi en parlant anglais, conséquence de la loi qui a interdit le français en Louisiane pendant près de quarante ans.
https://france-amerique.com/fr/a-documentary-depicts-the-rebirth-of-french-in-louisiana/







